Ce guide contribue au renforcement de la société civile haïtienne et à la favorisation du dialogue entre celle-ci et les collectivités locales.
Cette fiche thématique a pour but de donner un aperçu de la situation haïtienne sur l'éducation.
Ce film fait le point sur différents aspects de la situation du pays un an après le séisme.
Ce documentaire donne la parole aux Haïtiennes qui vivent toujours dans les camps, trois ans après le séisme.
Ce rapport traite des expulsions forcées pratiquées à Haïti aggravant la situation déjà désespérée de milliers de gens qui vivent toujours dans des camps pour personnes déplacées, plus de trois ans après le séisme dévastateur de janvier 2010.
Ce rapport présente les principaux chiffres de l'opération Solidarité Haïti quatre ans après la catastrophe.
Le Groupe URD a mené en 2012 et 2013 une étude sur les problématiques de la reconstruction et l’environnement à Morne-Hôpital.
Cette étude a pour ambition de fournir aux organisations humanitaires soucieuses de revoir leur approche de la sécurité en Haïti des éléments susceptibles de les aider dans cette démarche.
Interrogation sur les causes profondes de la séparation familiale en Haïti et les conséquences réelles sur la vulnérabilité des enfants.
Tourné sur deux années après le séisme en Haïti, un constat implacable sur la gestion calamiteuse de l’après-catastrophe par la communauté internationale.
Découverte par le biais de ce fascicule d'Haïti et de sa population, frondeuse et attachante.
Fuite de trois garçons de leur internat au moment où le séisme du 12 janvier 2010 frappe Port-au-Prince et qui les obligera à tenter de vivre à leur guise dans la capitale haïtienne.
Long métrage documentaire à la croisée de l’histoire, de l’anthropologie et de la culture et portant sur Ayiti Toma : cette Haïti au-delà des idées préconçues sur l’impérialisme, l’esclavage, les catastrophes naturelles et l’aide humanitaire.
L'hebdomadaire du Collectif Haïti de France.
L'hebdomadaire du Collectif Haïti de France.
Cet ouvrage met en exergue l'action de la communauté internationale en faveur d'Haïti.
Cette fiche à pour objet de présenter l'éducation à la citoyenneté et à la solidarité internationale, appelée éducation au développement (EAD) ainsi que le plaidoyer.
L’objectif de cette ETR était double:comprendre si la réponse internationale a été effective et secondement analyser comment la planification et les mise en œuvre de la réponse reflètent les engagements du Grand Bargain.
Cette étude est un bilan de l'action de la solidarité du Secours Populaire Français à l'égard d'Haïti un an après le séisme.
L'hebdomadaire du Collectif Haïti de France
Afin de capitaliser sur les projets de son réseau, le Collectif Haïti de France et ses associations membres ont élaboré des fiches expériences. L'association Grandir en Haïti fait part de son expérience autour du partenariat avec le foyer Notre dame de Lourdes, Croix des Bouquets.
Afin de capitaliser sur les projets de son réseau, le Collectif Haïti de France et ses associations membres ont élaboré des fiches expériences. Le réseau Rhône-Alpes pour Haïti et l'association Lyon Haïti Partenariats font part de leur expérience autour de l'organisation d'un événement culturel pour la promotion d'une image positive d'Haïti.
L'hebdomadaire du Collectif Haïti de France
L’hebdomadaire du Collectif Haïti de France
L'hebdomadaire du Collectif Haïti de France
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Les résultats de cette recherche mettent en évidence les implications, au plan éducatif, de la prise en compte des représentations des élèves et des enseignants.
L'ouvrage invite à rechercher les causes de l'échec de la reconstruction d'Haïti.
Ce livre est à la fois un exposé percutant sur les dérapages de l’aide étrangère et des politiques commerciales en Haïti, un récit émouvant de la vie dans les hameaux et un ouvrage délirant et drôle.
Crise : Des organisations de la société civile alertent sur une crise humanitaire en Haïti
Crise : Jovenel Moïse sort de sa clandestinité apparente
Économie : Un pays sans budget pour la troisième année consécutive / L’avenir toujours plus sombre
Bilan : La situation est encore incertaine en ce début octobre, en Haïti
Depuis plus de 20 ans, le Groupe URD évalue des réponses humanitaires et des gestions de crise qui ontpresque toujours une composante « santé ». Dans tous ces contextes, de l’Afghanistan à la Colombie en passant par le Moyen-Orient l’Afrique et les Caraïbes, nous avons ainsi observé comment les systèmes de santé réagissaient aux crises, avec d’un côté la médecine de guerre et de catastrophe1, de l’autre la santé publique classique2, et enfin la gestion des crises sanitaires majeures de type choléra et Ebola3. Nos travaux sur les effondrements, mis en exergue récemment dans notre revue Humanitaires en mouvement4, montrent combien il faut prendre au sérieux de telles crises sanitaires5 dont les effets transfrontaliers, voire globaux, peuvent être catastrophiques. Dans le contexte de la pandémie COViD-19, nous avons donc décidé de réunir toutes les leçons tirées denos travaux sur les crises sanitaires majeures et de produire le présent document de capitalisation.
Pays le plus vulnérable du continent américain, Haïti est frappé par le covid-19 alors que la population est en prise avec les cyclones, une pauvreté généralisée, un gouvernement gangréné par la corruption et totalement décrédibilisé. Les derniers mots de Georges Floyd sont devenus sur les réseaux sociaux haïtiens un cri d’alerte : « Ayiti paka respire », Haïti ne peut pas respirer.
Haïti a passé ces derniers jours plusieurs caps symboliques. Celui du 1er juin qui marque le début de la saison cyclonique – une saison qui s’annonce, contrairement à celle de l’année passée, particulièrement rude et éprouvante ; celui de cent gourdes (la monnaie nationale) pour un dollar américain – il en fallait deux fois moins, il y a cinq ans ; celui des 3000 cas confirmés de personnes infectées par le covid-19 – même si le nombre réel d’infections est très certainement bien plus élevé.
Haïti fut l’un des derniers pays de l’Amérique latine à être touchée par le coronavirus. Mais, si le virus est arrivé tard, il frappe au pire moment le pays le plus vulnérable du continent. La pauvreté touche près de 60 % de la population, 40 % des Haïtiennes et Haïtiens sont en situation d’insécurité alimentaire, et quelque 2,5 millions de personnes, soit plus de 20 % de la population du pays, vivent dans la capitale, Port-au-Prince ; chaos urbanistique où prédominent les bidonvilles.
Bulletin d'informations "Une Semaine en Haïti" n°1462