ATELIER DE CAPITALISATION
L'accès à l'énergie est un défi majeur du monde
d'aujourd'hui. Qu’il s’agisse d’emplois, de sécurité, de
changement climatique, de production de nourriture ou
d’accroissement des revenus, l’accès de tous àl’énergie
est essentiel. L’accès universel à l’énergie,
l’augmentation de l’efficacité énergétique et l’utilisation
accrue des énergies renouvelables grâce à de nouvelles
opportunités économiques et professionnelles est crucial
pour créer des communautés plus durables et inclusives
et une résilience face aux problèmes environnementaux
tels que le changement climatique.
La majorité des ménages haïtiens vit en situation de
précarité énergétique. D'après la Banque Mondiale,
Haïti est le pays qui a la plus faible consommation
d’électricité au monde. Le pays manque cruellement de
cette énergie essentielle au développement du pays,
malgré les efforts d’Électricité d’Haïti (EDH).
Évaluation conjointe réalisée par l'Agence Française de Développement et la Fondation de France sur le financement des ONG en Haïti à la suite du séisme.
Guide méthodologique ayant pour but de donner quelques repères aux citoyens actifs s'interrogeant sur leur pratique solidaire avec Haïti
Ce film fait le point sur différents aspects de la situation du pays un an après le séisme.
Ce documentaire donne la parole aux Haïtiennes qui vivent toujours dans les camps, trois ans après le séisme.
Ce rapport traite des expulsions forcées pratiquées à Haïti aggravant la situation déjà désespérée de milliers de gens qui vivent toujours dans des camps pour personnes déplacées, plus de trois ans après le séisme dévastateur de janvier 2010.
Ce rapport présente les principaux chiffres de l'opération Solidarité Haïti quatre ans après la catastrophe.
Interrogation sur les causes profondes de la séparation familiale en Haïti et les conséquences réelles sur la vulnérabilité des enfants.
Tourné sur deux années après le séisme en Haïti, un constat implacable sur la gestion calamiteuse de l’après-catastrophe par la communauté internationale.
Fuite de trois garçons de leur internat au moment où le séisme du 12 janvier 2010 frappe Port-au-Prince et qui les obligera à tenter de vivre à leur guise dans la capitale haïtienne.
Long métrage documentaire à la croisée de l’histoire, de l’anthropologie et de la culture et portant sur Ayiti Toma : cette Haïti au-delà des idées préconçues sur l’impérialisme, l’esclavage, les catastrophes naturelles et l’aide humanitaire.
L'hebdomadaire du Collectif Haïti de France.
L'hebdomadaire du Collectif Haïti de France.
L'hebdomadaire du Collectif Haïti de France.
Le film met en exergue de nombreuses contradictions qui existent au sein du système éducatif en Haïti.
L’objectif de cette ETR était double:comprendre si la réponse internationale a été effective et secondement analyser comment la planification et les mise en œuvre de la réponse reflètent les engagements du Grand Bargain.
Les signataires de cette note appellent à une réorientation de la campagne de vaccination du choléra qui devrait être complémentaire d’une politique plus large.
Cette étude est un bilan de l'action de la solidarité du Secours Populaire Français à l'égard d'Haïti un an après le séisme.
L'hebdomadaire du Collectif Haïti de France
L’hebdomadaire du Collectif Haïti de France
L'hebdomadaire du Collectif Haïti de France
L'hebdomadaire du Collectif Haïti de France
L'hebdomadaire du Collectif Haïti de France
L'hebdomadaire du Collectif Haïti de France
L’Agence Française de Développement (AFD) et la Fondation de France se sont toutes
deux fortement mobilisées à la suite du séisme pour répondre à l’exigence d’une situation
extrême. L’AFD en faisant évoluer ses interventions de long terme et en renforçant son action,
la Fondation de France en déployant un programme spécifique pour « Reconstruire la vie »,
grâce à la générosité du public. Toutes deux ont soutenu de nombreuses ONG françaises
et haïtiennes, directement ou à travers des partenariats, pour aider le pays à se redresser.
Des actions ont été menées dans des domaines variés, dans l’éducation et la formation, la
reconstruction, la relance économique, le développement rural, la culture, l’eau ou la santé.
L'hebdomadaire du Collectif Haïti de France
L'hebdomadaire du Collectif Haïti de France
L'ouvrage invite à rechercher les causes de l'échec de la reconstruction d'Haïti.
Ce livre est à la fois un exposé percutant sur les dérapages de l’aide étrangère et des politiques commerciales en Haïti, un récit émouvant de la vie dans les hameaux et un ouvrage délirant et drôle.
En partenariat avec le CEFREPADE
La crise sanitaire du Coronavirus, a fait prendre à
de nombreux pays, dont la France, des mesures de
confinement importantes, empêchant les
rassemblements de personnes, restreignant les
déplacements... En Haïti, le virus également se
propage et appelle à la plus grande vigilance.
Quels impacts cette crise sanitaire sans précédent
a t'elle sur les associations ? Leurs activités, leurs
projets ? Comment continuer nos actions de
solidarité ?
Pays le plus vulnérable du continent américain, Haïti est frappé par le covid-19 alors que la population est en prise avec les cyclones, une pauvreté généralisée, un gouvernement gangréné par la corruption et totalement décrédibilisé. Les derniers mots de Georges Floyd sont devenus sur les réseaux sociaux haïtiens un cri d’alerte : « Ayiti paka respire », Haïti ne peut pas respirer.
Haïti a passé ces derniers jours plusieurs caps symboliques. Celui du 1er juin qui marque le début de la saison cyclonique – une saison qui s’annonce, contrairement à celle de l’année passée, particulièrement rude et éprouvante ; celui de cent gourdes (la monnaie nationale) pour un dollar américain – il en fallait deux fois moins, il y a cinq ans ; celui des 3000 cas confirmés de personnes infectées par le covid-19 – même si le nombre réel d’infections est très certainement bien plus élevé.
Haïti fut l’un des derniers pays de l’Amérique latine à être touchée par le coronavirus. Mais, si le virus est arrivé tard, il frappe au pire moment le pays le plus vulnérable du continent. La pauvreté touche près de 60 % de la population, 40 % des Haïtiennes et Haïtiens sont en situation d’insécurité alimentaire, et quelque 2,5 millions de personnes, soit plus de 20 % de la population du pays, vivent dans la capitale, Port-au-Prince ; chaos urbanistique où prédominent les bidonvilles.