Dire tant et tant de choses sans voix off, en laissant parler les femmes sans que l’on entende les questions qu’elle leur avait posées, Elsa Dafour le réussit dans son film « Demain si Dieu veut ». Tant de choses sur les femmes d’Haïti, sur le pays aussi. Par des images sans commentaires. Comme par exemple, celles de cette gamine qui, son livre à la main, récite, ânonne une leçon en français à laquelle elle ne doit pas comprendre grand-chose. Impossible, en voyant, en entendant cette élève, de ne pas s’interroger sur le système éducatif du pays et de ne pas l’accuser.
Il n’y a pas que des images, bien sûr. Il y aussi les voix de ces femmes. Elles parlent, elles se disent comme si elles avaient oublié la caméra. C’est que Elsa Dafour avait pris le temps de se faire accepter et de les convaincre. Et nous ressentons pour ces femmes le même respect que nous percevons chez la réalisatrice. La misère est là devant nos yeux, les difficultés du quotidien bien présentes. Le film ne détourne pas les yeux mais il ne cherche pas à nous apitoyer en larmoyant sur le sort de ces femmes après le séisme de 2010. Point de pathos, point de misérabilisme. Un film digne à la mesure de la force de vie de ces femmes.
SOMMAIRE
Page 1, L’ARTICLE DU MOIS : « Demain si Dieu veut »
Page 3, Les nouvelles de NIH ont une énergie durable
Page 4, VU DANS LA PRESSE &L’EDITION : Espoir bafoué
Page 4, L’ACTUALITE DU CHF : Retour sur l’AG du CHF - Pétition pour le respect des droits des Haïtiens en République Dominicaine
L'hebdomadaire du Collectif Haïti de France.
Anise et Rosette, deux parcours de femmes qui cheminent d’un bord à l’autre de la frontière entre Haïti et la République dominicaine, portant leurs espoirs à bout de bras et sur la tête, leur commerce.
Dany Laferrière est un homme assoiffé de littérature, amoureux de la vie.
Dans ce film, on l’accompagne dans une douzaine de villes dont Montréal, Paris, New York, Port-au-Prince jusqu’au mythique village de pêcheurs, Petit-Goâve.
Ce documentaire de 92 minutes, premier long métrage haïtien, retrace la lutte du peuple haïtien pour sa liberté depuis l'arrivée de Christophe Colomb jusqu'à Jean-Claude Duvalier.
Amnesty International a visité plusieurs camps de personnes déplacées dont les résidents étaient menacés d'expulsion, ce rapport met en exergue les violations du droit à un logement décent en Haïti après le tremblement de terre.
Cette recherche interroge sur les relations entre les Droits de l'Homme et le Vodou. De fait, il place ce dernier comme un objet digne de réflexion.
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Ce documentaire tourné en Haïti relate le parcours d’homosexuels et travestis au sein du vodou.
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En Haïti, comme dans toute société post dictatoriale, la revendication
du fonctionnement d’un État de droit a été une constante qui a traversé
tout le mouvement démocratique après l986.
Ravine l’espérance raconte la vie dans un quartier très pauvre de Port au prince au travers des yeux de 6 personnages, une semaine avant le tremblement de Terre de 2010 qui a ravagé la capitale.
Mémoire de DEA d'Etudes Africaines
Option : Anthropologie juridique et politique
Claire, mordante, jamais simpliste, cette bande dessinée, servie par un graphisme brut, donne envie de se jeter sur les albums de Manno Charlemagne.
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